Questionnaire de Proust #3 : Tanguy Caradec, qui met l’investissement à la portée du plus grand nombre

J’ai voulu vous présenter Tanguy car il tient un blog que j’apprécie beaucoup, au travers duquel il sait rendre simples des choses qui jusque-là me semblaient bien compliquées. Tanguy n’hésite pas à partager ce qu’il sait en matière d’investissement boursier, immobilier, spéculation et autres manipulations mystérieuses, pour en faire bénéficier tous ses lecteurs en les rendant accessibles. J’aime beaucoup son approche pédagogique, en toute modestie, et très démocratique. Je vous invite à aller y puiser des informations et à vous mettre à votre tour à vous la faire version Warren Buffet … Voici l’adresse :  investir et devenir libre

Merci, Tanguy, d’avoir accepté que je diffuse ton portrait sur mon blog ; et le 4/ me touche beaucoup même s’il ne faisait pas partie des questions !

Portrait :

1/ Qui est Tanguy ?Image

Je m’appelle Tanguy Caradec, j’ai 35 ans et dans la vie je suis un passionné d’investissement. On peut dire que je suis tombé petit dans la marmite : j’ai ouvert mon premier plan d’épargne en actions à 16 ans. Et puis j’ai pris de plein fouet le krach internet de 2001. Depuis, en complément à mon activité de salarié dans le privé, je continue à investir et à me former sur tout ce qui se rapporte à l’investissement (bourse, immobilier, or et matières premières,…). Mon objectif est de pouvoir vivre de mes investissements, sans dépendre de mon travail salarié, bref devenir libre financièrement.

2/ Pourquoi un blog pour apprendre à investir ?

J’ai commencé le blog investir et devenir libre en Aout 2013. L’idée me trottait dans la tête depuis quelques temps car je voulais partager ma passion pour l’investissement. Mes proches étaient intéressés par ce que je savais, par mes idées de placements, mais il me manquait un outil de diffusion plus large. Et faire un blog répondait à ce besoin.
Beaucoup de personnes ont des questions sur l’argent mais elles ne trouvent pas forcément la bonne personne pour en parler. Et de fait, beaucoup de gens ne prennent pas les meilleures décisions pour leur argent. Le plus souvent, c’est par manque de connaissances alors que finalement c’est assez simple d’apprendre à investir et cela demande des qualités que l’on trouve chez la plupart des gens. L’important est d’exploiter ses qualités. Pour moi, c’est un avantage clé car apprendre à investir va vous permettre d’atteindre plus vite vos objectifs financiers et de ne pas dépendre de quelqu’un d’autre (votre patron, vos clients) pour vivre.
Ce blog, c’est donc la rencontre entre les questions sur l’argent et les réponses que je peux apporter.

3/ Qu’est qu’on apprend sur ce blog ?

Ma priorité est d’apprendre aux gens à investir. J’écris donc sur les basiques à comprendre comme l’inflation, les intérêts composées, l’importance des  cycles dans l’investissement. Mais aussi  les règles à respecter, ce que j’ai moi-même appris.
Je fais une grande place aux investisseurs qui ont réussi comme Warren Buffett car je pense qu’il faut apprendre auprès de ceux qui ont réussi.  Avec internet, nous avons accès à un grand nombre d’informations mais finalement il faut bien choisir ce que l’on lit pour investir avec succès.
Enfin je partage également mes idées d’investissements du moment. Par exemple, j’explique comment j’ai investi avec succès dans l’immobilier aux USA à partir de 2011. Je donne aussi mon avis sur les placements à privilégier à un moment donné, car finalement le timing est souvent plus important que l’investissement lui-même.

4/ Le mot de la fin

Je voudrais remercier Anne pour avoir publié cette   présentation. Anne était ma collègue lorsque je travaillais comme consultant,   elle est droite et très humaine, 2 qualités finalement assez rares…

L’Excellence – conférence du 1/10/13 au Palais des Congrès,

Trois points de vue sur l’excellence, à la fois originaux et convergents

Voici de façon peu élaborée mais tel que livré l’oral, devant un public fasciné, des déclinaisons possibles de l’optimisme, de la réussite et de l’excellence

 

1er intervenant : Philippe Gabilliet (prof à ESCP, Directeur Scientifique de l’European Executive MBA et Professeur de Leadership,)

Philippe Gallibiet, bien moins sage que sur la photo !

Philippe Gallibiet, bien moins sage que sur la photo !

Le contraire de l’optimisme n’est pas le pessimisme mais le cynisme. « Entre  optimisme et pessimisme, il y a réalisme », dit M. Gallibiet. Quel programme  motivant ! «Comment est ta nouvelle petite amie ? » « Réaliste », ça promet d’être excitant, n’est-ce pas,  on voit tout de suite comment elle est. L’optimisme engendre la créativité, car on sait qu’on va y arriver et on se doit de trouver comment, car l’on sait qu’on va trouver.

L’optimisme, ça s’apprend, et si on se plante, on aura au moins essayé. Vaut-il mieux être celui qui a essayé mais n’a pas réussi que celui qui va dire « j’avais bien raison » (de ne pas me donner la peine d’essayer).

On dit qu’il y a des malheureux, en France, que le monde va mal ; regardons cela de plus près : on est soignés gratuitement, éduqués gratuitement à l’école, il y a des aides, on vit jusqu’à plus de 80 ans. Du temps de Victor Hugo, oui, il y avait des vrais misérables. Les problématiques évoluent, une découverte devient vite obsolète mais fait place à autre chose.

Penser positif est une compétence, une excellence

2e intervenante :  Robin Chase (créatrice de ZipCar et de BuzzCar)

http://www.zipcar.com

http://www.buzzcar.com/fr/

Madame Chase nous a fait sa présentation en français, ce qui est remarquable, puisqu’elle est américaine ; elle  a inventé avec Zipcar un concept collaboratif : des plateformes de locations de voitures de proximité, garées dans votre quartier vous permettant de vous éviter les 30 mn d’attente chez les loueurs traditionnels  etpermettant de louer pour une heure ou deux, plateforme sur laquelle le numéro de permis et autres formalités sont déjà implémentées une fois pour toutes ;  on reçoit un code, on localise une voiture et on paye au temps. Un loueur traditionnel va louer par 24H ; face à ce manque de flexibilité, avec ce concept- là une location  peut être de 2H ou 26H, … Le temps exact nécessaire. Un gain de temps, d’argent, et une agilité bien meilleure.

Par ailleurs, Mme Chase a  monté BuzzCar, nous avons en France son équivalent qui n’a aucun complexe à avoir, http://www.ouicar.fr/

Photo Pascal Thenault

Photo Pascal Thenault

Le concept se base sur la surcapacité. On a une voiture qui coûte 6000 euros par an et on s’en sert une heure par jour, soit 220 heures par an ; coût 30€ par jour, 500€ par mois ; Cette voiture pourrait nous couter bien moins si l’on mettait sa surcapacité intrinsèque à disposition d’autres personnes. Ensuite, il faut baser le business de plus en plus sur un mode collaboratif et un fonctionnement  basé sur la confiance. Il faut que l’utilisateur AIME la philosophie derrière le business qui lui est proposé.

Pour Madame Chase, l’excellence est d’utiliser au mieux ce qui est à notre disposition afin de l’optimiser
L’écologie en plus !

 

3e intervenant, un champion de France, du monde et Olympique de ski de bosses, Edgar Grospiron

« L’excellence c’est utiliser le moins de ressources possibles pour le meilleur résultat ». Monsieur Grospiron cite l’exemple suivant : un champion de 100m ayant gagné sa course, répondit au journaliste qui l’interviewait : « j’ai fait une course parfaite ». Le journaliste demanda pourquoi et le sportif répondit : « j’ai même pas transpiré ».

Bon, il faut bosser et exploiter ses aptitudes. Pour Edgar Grospiron, très modeste, c’est la constitution osseuse de ses genoux qui était son excellence et l’a mené au Pinacle. Avant de partir  aux JO il est allé voir Jean-Claude Killy et lui a dit : « c’est  la France qui va remporter l’or et d’ailleurs ce sera moi ». Dans 50% de ses courses Edgar est arrivé 1er sur toute sa carrière, et dans 70% des compétitions, il a fait un podium. Il n’a jamais pensé « j’y suis arrivé », il a toujours conservé le plaisir avec pour objectif de garder ce plaisir le plus longtemps possible.

grospirron ski de bosses

Pourquoi du ski de bosse ? car avec du recul Edagar Grospirron sait que c’était SON excellence, et il s’est donné les moyens d’être le meilleur sans pour cela se démolir les genoux à vie ni prendre la grosse tête.

Et vous, quelle est votre excellence ?

L’entreprise du futur sera « Work & Care » ! – Article de M. René Duringer – LES ECHOS

L’entreprise du futur sera « Work & Care » !

LE CERCLE. Les solutions de croissance passent par l’innovation à haute dose, celle-ci n’étant possible que si l’entreprise passe au « Work & Care » pour encourager coconception, créativité, coopération, co-innovation, fluidité inter-fonction, etc. Le « Care », c’est une capacité à prendre soin de ses salariés, avec une implication élevée de l’entreprise dans leur santé ou de leur environnement de travail.

 

Photo Lucas Pintor

Photo Lucas Pintor

Les prochains gisements de croissance et de création de valeur ne sont accessibles qu’avec de l’innovation massive. Or, la coconception, la créativité, la coopération, la co-innovation, la fluidité inter-fonction, la performance… ne sont possibles que si l’entreprise propose un biotope favorisant la libération des énergies et donc prenne soin de ses salariés. Il faut que les entreprises se convertissent au « care », ce concept désignant une réflexion sur la place du souci pour autrui. Le chantier de la prochaine décennie pour les entreprises, c’est donc la santé de ses salariés pour développer la performance individuelle et collective (avec du bonheur inside).

En 2013, nous avons égrené les dernières pages du feuilleton d’un capitalisme financier à court terme pas toujours respectueux de son environnement social et sociétal. Avec un pilotage marqué par des baisses d’effectif massives réalisées à titre préventif, une congélation des salaires et des RH low cost nous sommes dans une impasse. Les entreprises organisées en silo avec des structures verticales de type militaire qui n’ont pas compris le mot « empowerment » commencent à se fissurer en produisant des collaborations dégénératives (1+1=-1).

Si le « Work & care » est une évidence stratégique pour les entreprises à la recherche de solutions de croissance durable, c’est aussi une réponse sociétale. Alors qu’au XXIe siècle, on cherche des repères, on attend de la reconnaissance, du contact, des relations vraies, de lien social et une attention de l’autre, des autres. Cela est vrai dans la vie de chacun au quotidien, mais aussi dans le monde du travail…

Prendre soin n’est pas se montrer faible, c’est montrer aux autres une attention véritable et ce comportement est souvent porteur d’un apport positif pour celui qui offre, mais aussi celui qui reçoit. De beaux discours ? Pas seulement. Ce mal-être dans l’air du temps contamine l’univers des entreprises, le transformant peu à peu en univers stérile, vieillissant et allergique à l’innovation.

Sans faire preuve de crédulité extrême, on serait en droit de penser que « prendre soin » de l’autre, de ses salariés, de ses collaborateurs est l’une des clés pour relancer la machine de la créativité, de la productivité et par la même de la croissance. Les entreprises en ce début de millénaire se préoccupent de RSE et cela est louable si l’on se penche sur l’avenir des générations futures. Mais cela ne suffit pas. Comment préparer l’avenir si notre environnement regorge de personnes sans espoir dans le futur ? L’une des réponses est dans le soin d’autrui, le « Care ».

En effet, prendre soin de ses salariés, c’est leur apporter cette reconnaissance qui leur permettra d’assouvir leur besoin d’appartenance à une entreprise dans laquelle ils auront envie de croire et dont ils seront les premiers acteurs. Le besoin de reconnaissance est l’un des facteurs déterminants du mieux-vivre en entreprise qui procure fierté, dignité et ce fameux sentiment d’appartenance. Ainsi, le travail doit être stimulant et l’environnement de travail doit favoriser cette stimulation.

Mais cela ne doit pas rester que des mots ou de belles idées ! Pour réussir, les entreprises doivent investir dans la gestion de la santé et des conditions de travail de leurs salariés. Il n’est pas là question de parler d’assistanat, mais plutôt de procurer un contexte favorisant la créativité, la performance individuelle et collective, la coopération, la coconception, une dynamique organisationnelle faite de motivation, de dialogue et ainsi promouvoir la création de valeur. Des salariés heureux sont des salariés efficaces et créatifs ! Et puis n’oublions pas qu’un salarié heureux, cela se traduit par un client heureux !

Dans la prochaine décennie, les entreprises voulant attirer les meilleurs talents devront être « human centric » et les salariés choisiront les employeurs « best-in-class » dans ce domaine. Alors qu’attendez-vous pour passer au Work & Care ?

Citation

Nous avons deux…

Photo Lucas Pintor

Photo Lucas Pintor

Nous avons deux vies et la deuxième commence lorsque nous réalisons que nous n’en avons qu’une. Confucius

Merci à Alexandre Dunoyer.

Vidéo

Le Parc d’Anjelin Preljocaj

Une partie importante de ma vie a été consacrée à ma passion, la danse classique.

Voici Aurélie Dupont et Manuel Legris dans une magnifique scène d’amour à la fois triviale et pleine d’émotion.
J’ai pensé que ce serait mon cadeau de Noël …

Si vous ne souhaitez pas tout regarder, démarrez à 5 mn 14.

Il est rare de voir un pas de deux où l’homme est au moins aussi valorisé que la femme … Alors que rien n’est plus beau !

Questionnaire de Proust #2 : découvrez Elisabeth, sa posture professionnelle et son courage

Elisabeth Verreman est Cadre dans un grand Centre Hospitalier. Moi qui suis un produit issu à 100% du privé / secteur « marchand », j’ai souhaité en savoir un peu plus sur la vie professionnelle et les conditions de travail de cette femme pleine de charme, cette belle personne, rayonnante, qui dégage beaucoup de dynamisme et de gentillesse. J’ai connu Elisabeth à l’occasion de ma formation à la Médiation professionnelle, au cours de l’année 2013 à l’Institut Français de la Médiation.

J’ai été frappée par son implication dans les ateliers, signe fort d’une quête et d’un besoin, et par la pertinence de ses idées. Je savais que le milieu hospitalier était assez difficile pour les salariés ; en effet, comment pourrait-on se soustraire à des heures supplémentaires, des réunions Qualité de Soins, des entretiens avec les familles de malades, au détriment de sa propre vie privée, compte tenu des enjeux humains et des  responsabilités morales qui découlent de cette activité ? Côtoyer chaque jour la souffrance et la mort peut entraîner rapidement l’individu à laisser son assertivité au vestiaire …

Elisabeth, comme probablement beaucoup de salariés en milieu médical, fait preuve d’une très grande éthique. Par son témoignage toujours très discret mais pertinent, elle m’a confortée dans l’idée que les Cadres dans cette branche n’échappent pas à la fatigue, la dépression, le stress,  le burnout. Elisabeth est très à l’écoute, tend toujours la main aux autres ; cela se ressent très fort au travers de son témoignage que je vous livre ci-dessous.

Ma vertu préférée. Sincérité
La qualité que je préfère chez un homme. Amusant, bienveillant, sincère
La qualité que je préfère chez une femme. Authentique, digne de confiance
Ma plus grande qualité. L’écoute, la communication
Mon principal défaut. Perfectionnisme
Mon occupation préférée. La danse
Mon rêve de bonheur. Actions humanitaires
Quel serait mon plus grand malheur ? Perdre un enfant
Le pays où je désirerais vivre. Afrique
La couleur et la fleur que je préfère.  Couleur : Bleu et fleur : Tulipe blanche
L’oiseau que je préfère. La mouette (la mer)
Mes héros dans la vie réelle. Nelson Mandela et ce bien avant son décès
Mes héroïnes dans la vie réelle. Tina Turner
Ce que je déteste par-dessus tout.  L’hypocrisie- le mensonge
Personnages historiques que je méprise le plus. Hitler (qui pour moi n’a pas de prénom)
Le don de la nature que je voudrais avoir. La liberté
Comment j’aimerais mourir. Sans douleur, paisiblement entourée de mes proches
État d’esprit actuel.    Seule professionnellement, besoin de changer d’activité
Ma devise. Le respect
Photo : Elisabeth Verreman

Photo : Elisabeth Verreman

… A lire les sentiments, les convictions et les valeurs d’Elisabeth, et à pressentir tout ce qu’il y a derrière ses simples mots,  on voudrait en savoir beaucoup plus, n’est-ce pas.

Qui sera le prochain à se livrer à l’exercice ? Ou la prochaine ?

Questionnaire de Proust #1 : j’ai l’honneur et la fierté de vous présenter Dominique Lemal

La première personne qui m’a fait l’honneur de se livrer pour moi au questionnaire de Proust est Dominique Lemal,  à la tête et à l’origine de La Vibration©, dont j’admire beaucoup le travail.

Photo donnée par l'auteur

Photo donnée par l’auteur

J’ai rencontré Dominique le 21 août, à Saint Michel, et il m’a parlé de ce qui le fait vibrer, de ses passions, de ses convictions, de tout le bien qu’il fait pour autrui. Sur sa page Linkedin, Dominique se définit comme suit :

« J’interviens comme Consultant et Énergéticien ; je crois que la joie, la légèreté, et l’harmonie énergétique et vibratoire créent la performance
Je pratique une méthode personnelle, La Vibration©, active sur les 3 plans : mental, émotionnel, et physique.
Certaines pathologies (maux de dos, névralgies, fibromyalgie, migraines, cauchemars, insomnie, tristesse, phobies et angoisses, sciatique, hernie discale, ulcères, fatigue, asthénie ou mélancolie…) sont un signal d’alarme du corps nous invitant à changer quelque chose dans notre vie ou dans notre manière de vivre et de voir la vie.
Je vous invite à venir diminuer peurs, sentiments de culpabilité, colères… Osez-vous transformer car il est absurde de conserver tous ces freins au bonheur ! En quelques séances, les émotions deviennent plus belles, les pensées beaucoup plus hautes, les douleurs sont soulagées, et l’Énergie Vitale circule partout dans le corps. Ainsi, tout devient plus fluide ; la vie devenant plus légère ! »

Dominique est de nationalité belge, ce qui explique   certaines de ses réponses, dont je pressens qu’il les a faites sans réflexions,   spontanément. Voici donc les réponses de Dominique au Questionnaire de   Proust ; tout à fait à la fin, je vous livrerai ce que Dominique a pensé   de moi suite à notre première rencontre. Ce commentaire est extrêmement   révélateur sur qui est cette personne à mes yeux exceptionnelle.

Voici ses réponses ; savourez

Ma vertu préférée.
La lucidité

La qualité que je préfère chez un homme.
La bonté
La qualité que je préfère chez une femme.
La joie de vivre
Ma plus grande qualité
La constance
Ce que j’apprécie le plus chez mes amis.
L’écoute
Mon principal défaut.
La rudesse (*)
Mon occupation préférée.
Lire, écrire, ou ne penser à rien
Mon rêve de bonheur.
Gagner ma vie en écrivant et en   racontant
Quel serait mon plus grand malheur ?
Je préfère ne pas le citer
Ce que je voudrais être.
Etre plus utile (Dominique : ENCORE   plus utile,   voyons, NDR)
Le pays où je désirerais vivre.
Un pays de soleil et de vignes
La couleur et la fleur que je préfère.
Le bleu
L’oiseau que je préfère.
Le pélican
Mes auteurs favoris en prose.
Maurice Druon, Christian Bobin, Yves   Berger, Paul Léautaud, Julien Green, Jean Rouaud, Jean-Marie Rouart, Jules   Roy, Saint-Exupéry…
Mes auteurs favoris en vers.
Victor Hugo, Verlaine
Mes héros dans la fiction.
Athos
Mes héroïnes favorites dans la fiction
Angélique
Mes compositeurs préférés.
Beethoven (classique) ; Simon   & Garfunkel (Pop)
Mes peintres favoris.
Van Gogh, Millet, Vermeer
Mes héros dans la vie réelle.
Antoine de Saint-Exupéry
Mes héroïnes dans l’histoire
Catherine de Sienne, Eileen Caddy
http://www.eileen-caddy.net/
Mes noms favoris.
Joie et Légèreté
Ce que je déteste par-dessus tout.
Les règles
Le fait militaire que j’admire le plus.
La bataille de Bouvines (pour répondre quelque   chose)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Bouvines
La réforme que j’estime le plus.
La réforme du calendrier julien (je   plaisante)
Le don de la nature que je voudrais avoir
L’Intuition juste
Comment j’aimerais mourir.
Ce n’est pas moi qui décide
État d’esprit actuel.
Calme
Fautes qui m’inspirent le plus   d’indulgence.
Fautes de Bonté
Ma devise.
Semper ad altum (Toujours Plus Haut)   –  Celle de Saint-Exupéry, et du 3ème   grand cru classé Château Malescot St. Exupéry

(*) Allez directement demander à Dominique ce que veut dire « rudesse » pour lui ; c’est tellement polymorphe !

be.linkedin.com/pub/dominique-lemal-la-vibration©/12/529/454

Et voici ce que Dominique a écrit sur moi,
pourquoi cet homme, qui essaye si fort, me touche :

Qui cela ne toucherait-il pas ?

Dominique Lemal – La Vibration© Réorganiser
Accompagnateur de Performance. Énergéticien : Rééquilibrage Énergétique,      Émotionnel & Quantique…
« Lorsque j’ai rencontré Anne, je l’ai d’emblée reconnue dans la petite foule qui se trouvait là : Anne, c’est la noblesse des sentiments et l’attention aux autres, et cela se ressent. Anne, c’est aussi une écriture fluide, c’est un style, et cela se voit en la lisant » …

Photo Pascal Thenault L'état où j'étais lors de notre rencontre ...

Photo Pascal Thenault
L’état où j’étais lors de notre rencontre …

21 août 2013, Dominique s’est déplacé de Bruxelles pour me rencontrer, par une très belle journée ensoleillée.

Eloge des femmes

Eloge des femmes.

En cette fin d’année, il me semble bon de parler un peu de nous. Je ne suis pas féministe mais je constate que comme le dit l’auteure de ce blog nous n’avons pas attendu la RSE, ni le reste, pour faire les choses avec éthique.

La plupart d’entre nous en tous les cas.

Cela mérite d’être dit. Merci à Marie-Odile !

Lien

Source d’inspiration : cadre-dirigeant-magazine.com : mi-chemin entre Les Echos et Paris Match

C&D Mag

http://www.cadre-dirigeant-magazine.com/author/weide/

Comme vous le savez, j’écris beaucoup, aux côtés de Sophie Lhameen, sur Cadres et dirigeants-magazin.com

N’hésitez pas à réagir ou à contribuer également !

Citation

« La vie n’est …

Photo : Centre de la Dépression

Photo : Centre de la Dépression

« La vie n’est pas le travail : travailler sans cesse rend fou.»

Charles de Gaulle

Ca m’aurait bien aidée de lire cette citation 2-3 ans plus tôt …